Des milliers d’enfants travaillent dans le monde pour diverses raisons malgré même le fait que plusieurs pays se sont déjà assemblés pour mettre en place la convention internationale des droits de l’enfant. Une très bonne perspective, mais dommage, ce n’est encore suffisant pour l’abolition du travail des enfants. Voici donc quelques solutions complémentaires pour appuyer les efforts déjà réalisés.
Amélioration du système éducatif
Le manque de moyen financière est la principale raison qui pousse les parents à ne pas envoyer leurs enfants à l’école. A la place, ils décident de les envoyer travailler pour apporter des revenus complémentaires au sein du foyer. Rendre la scolarité non seulement obligatoire, mais aussi gratuite, est la manière la plus sûre de lutter contre le travail des enfants. Aussi, il faut mettre en place des établissements scolaires dans chaque région pour éviter que certains enfants parcourent plusieurs kilomètres pour aller à l’école. Enfin, il faut mettre en place des plans d’études sérieux pour empêcher le décrochage scolaire précoce.
Changement de mentalités et de mœurs
Ce n’est certainement pas la chose la plus facile à faire ! Toutefois, il est indispensable de trouver des moyens pour faire comprendre aux parents, et à tout le monde, que les enfants ne sont pas leur propriété. Ce sont des êtres humains qui ont des droits qui devraient vivre pleinement leur enfance. Puis, il faut faire en sorte que tout le monde prennent conscience de l’ampleur des conséquences néfastes que le travail précoce peut entraîner sur le développement des enfants.
Mise en place d’une politique socio-économique stratégique
Dans de nombreux pays qui sont encore en voie de développement, il arrive que les revenus de chaque famille soient encore inférieurs au seuil de subsistance familiale. Or, c’est l’excuse la plus utilisée par les parents qui décident de faire travailler ses enfants. La politique socio-économique est assez vaste. En effet, cela englobe à la fois la gestion des familles, la sensibilisation au niveau des entreprises, la consommation des produits fabriqués par les enfants, etc.